Qui s’exclament silencieux béats complets devant
les montagnes du Maramurèş mutilés mutins mes « monstres morts » –
morts pour quelques instants il n’existent pas souvent ils ne vivent
pas tout le temps.
Qui s’immortalisent immobiles immaculés gris des anges
tous fantômes et fous la nuit mange tes monstres et mets le contact
charogne.