Qui vident leurs verres à l’accordéon dans des
basses-cours basses-cours basses-cours – et se diluent dans le flou
sous le soleil s’estompe une langue de bitume d’ici vers l’horizon – ce
souvenir lui-même dans le flou et ploc et ploc et ploc la goutte à
l’alambic.
Qui s’attèlent cheval machine – raides et plombés dans
l’aile crachent et gueulent la vie la vie la vie et – se savent suaves
dans le doux vent soufflent un air speedé leurs corps à la fin font
chier dans un brut de langue à la fin font chier à la fin font chier.