Une grosse vague je commence un truc qui s’appelle L’odeur du gasoil à la frontière syrienne et qui n’a sans doute aucun rapport avec l’actualité mais pourtant — pas possible se taire et pourtant — j’écris un morceau mais çe ne marche pas — c’est pas ça qu’il faut dire — ça rate et craque — c’est le poème du jour il est inachevé :
Dans la boite de conversation Gmail il y a un rond vert à côté de son nom et puis un message s’affiche — il dit qu’il est rendu il dit que c’est bon ça va et sans doute une ou deux (...)
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Damas
Articles
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journal permanent | 27 mai 2013
27 mai 2013, par sebmenard -
journal permanent | 3 septembre 2013
3 septembre 2013, par sebmenardAlors j’ai repensé à Nori le Nori — et ça serait le début d’une histoire.
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soirs dont tu te souviens (avec les fantômes)
18 août 2011, par sebmenardun soir à Damas sur le toit d’un hôtel avec une bouteille de Vodka dans une main et quoi dans l’autre - les immeubles autour des ombres noires noires dans le ciel
un soir à Istanbul avec des oiseaux filant sur la mer Marmara - un autre soir à Istanbul dans une auberge bondée la ferraille bleue des lits -
un soir à Voinesea dans la montagne et la pluie sur nos gueules de gosses - un soir un peu plus au Nord un peu plus à l’Est et nos corps crevés raides -
un soir dans un bus un autre soir dans un (...) -
(qui) sont dingues et gris
25 mai 2011, par sebmenardphotographie : SebMénard, Syrie, Damas, 2008, Agfa APX100, scan de négatif.
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(qui) sont dingues et gris quittent des villes les vendredis saints — dans l’odeur du bitume et des sueurs ils s’en vont secoués saqués saqués et marchent dans les rues vides comme dans leurs corps et maigres s’en vont — secoués saqués saqués sans savoir c’est quoi vivre savoir et (...) -
journal permanent | 20 septembre 2018
20 septembre 2018, par sebmenardp. 30 Alana Apfel
et p. 155 pour la bourrache !
https://reporterre.net/Comment-faire-prosperer-une-Amap-anarchiste
Antoine Emaz
« la violence ordinaire rend muet »
(lu sur lieux-dits.eu)
Dans Poésie & performance
Il s’agit là d’un projet révolutionnaire… et de borago et d’Amap anarchiste et d’une violence ordinaire parce que la violence ordinaire rendu muet (Emaz) de Poésie & Performance (le titre du livre) ou d’un kilo de riz passé ce jour au voisin ce jour de compostage de mélange de (...) -
L’odeur du gasoil à la frontière syrienne (1/6)
15 avril 2014, par sebmenard1.
Dans la boite de conversation Gmail il y a un rond vert à côté de son nom et puis un message s’affiche — il dit qu’il est rendu il dit que c’est bon ça va et sans doute une ou deux conneries du genre tutto bene avec quatre points d’exclamations et que les lahmacuns sont bons — à un moment il met la webcam pour qu’on y croit sans doute et donc en chemise verte et sueur dans un point Internet d’Istanbul — nous on part dans deux jours et sans doute que j’ai peur et faim en même temps.
En arrivant on (...) -
L’odeur du gasoil à la frontière syrienne (2/6)
16 avril 2014, par sebmenard2.
...Un vendredi matin on se lève on prend les sacs et sans doute qu’on mange du houmous des olives et des tomates — on avait aussi l’habitude de tremper des concombres dans le fromage en buvant du thé noir — ensuite on monte dans un taxi pour lui dire qu’on file vers le Sud alors il nous emmène à l’Ouest — on met cinq sacs et une guitare dans le coffre et sur les sièges puis on s’assoit par dessus — les rues sont vides qui attendent la fin du vendredi et la fraîcheur du soir — le type qui vend ses (...) -
(qui) se voient marcher nus blancs
25 mai 2011, par sebmenardphotographie : SebMénard, Syrie, Damas, 2008, Ilford FP4+, scan de négatif.
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(qui) se voient marcher nus blancs dans le soleil — ils ne savent pas où ils marchent — ils ne savent pas comme ils parlent — ils ne savent pas leurs mondes ils ne savent plus leurs noms ils ne savent plus comment ça marche un corps déjà leurs pas — comment ça marche leurs pieds d’abord un et puis l’autre — un type est allongé à l’ombre qui a les (...) -
(qui) lanternes vont flous
31 mai 2011, par sebmenardphotographie : SebMénard, Syrie, Damas, 2008, Agfa APX100, scan de négatif.
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(qui) lanternes vont flous à travers les ruelles et dans le plein soleil se disent enfin que les ombres — les ombres bougent sans cesse et comme eux fantômes — s’en vont floues à travers les murs et les bagnoles. -
journal permanent | 27 février 2014
27 février 2014, par sebmenardÀ un moment elle dit pour réussir dans la vie je vais me faire greffer des couilles.
Lu voix haute au Quai l’oloé mis en ligne le matin même (est-ce qu’un texte a besoin de sous-titre : celui-ci sans la géolocalisation – que vaut-il).
Après 50ISO dans le noir.