Kill me Sarah - à chacun de trouver référence - mais faut aller faire un tour ici pour comprendre d’où on parle : Chroniques des temps perdus et bande-son pour orgasme.
2Kill me Sarah - le blog2
Kill me Sarah est un blog vieux de plus de dix ans - à échelle web dix années c’est un temps énorme (voir des traces ici et ici) - grande chance pour qu’à l’ouverture du blog - j’entrais au lycée - forcément dans l’expérience web c’est déjà une histoire qu’on ne peut pas se permettre de manquer - sans doute qu’il (...)
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Drǎgǎnești-Olt
Articles
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Kill me Sarah, du rock et les mots, le son
17 mars 2012, par sebmenard -
Journal permanent | 19 juin 2012
19 juin 2012, par sebmenardA matin sur la porte du bureau une lettre manuscrite et autour des trucs à la peinture - on dirait un film et par 31 degrés ça commence dès le matin - on attend la fin du premier épisode (c’était pas de la peinture) avant de faire les 40 bornes jusqu’à la ville la plus proche pour acheter le crédit pour la clé 3G - on commence à penser la suite - dans le début de la nuit encore un truc terrible avec ses (...)
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Journal permanent | 7 juillet 2012
7 juillet 2012, par sebmenardPendant qu’au garage ils bricolent la fenêtre j’écris une première partie de ce qui s’intitule pour l’instant « dans cette plaine (un récit) » — ça ne sera pas publié tout de suite sur le site — le premier passage c’est le garagiste et l’Afghanistan (mais ça ne porte pas de titre c’est des trucs très courts).
Idée : mettre des noms et raconter leur histoire par effleurement (rester dans le vent le froid le soleil chaud le vent) — mais garder le réel — ceux que tu as rencontré — le dire — prendre leur voix la (...) -
#ceux qui
20 mai 2013, par AnCé t.http://diafragm.net/spip/spip.php?a...
http://diafragm.net/spip/spip.php?a... -
conte : les pluies nous les bêtes
23 mai 2012, par sebmenardretour au sommaire
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retour au collage #nous les pluies bêtes 2troisième version2
Les pluies leurs bruits sont à travers la moustiquaire en plastique et tous ici nous sommes la génération poussière — quand elles arrivent les pluies quand elles viennent et surgissent on entend encore le bruit qu’elles font — en s’approchant on les sent c’est un mélange de poussière d’asphalte et de bêtes humides — des bêtes mouillées voilà c’est ça et nous tous là comme une génération poussière (...) -
#nous les pluies bêtes
20 mai 2013, par AnCé t.http://diafragm.net/spip/spip.php?a...
http://diafragm.net/spip/spip.php?a... -
Journal permanent | 25 juin 2012
25 juin 2012, par sebmenardLe jour à l’abri mais surtout pour les degrés et un rapport de dix-sept pages écrit à plusieurs mains dans une langue c’est pas la nôtre - tout le jour happé comme ça - rien lu (en fait c’est faux mais presque endormi - quelques pages seulement de photo de classes - et semi-pensé à mon ancien - peut-être futur - job) - la flèche directionnelle droite du clavier durcit.
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conte : à propos des pluies
5 décembre 2011, par sebmenardretour au sommaire
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retour au collage #pluies 2troisième version2
L’eau ne tombe plus — c’est décembre et les champs sont secs secs — l’herbe est jaune et la terre c’est une poussière sans nom — les bêtes la nuit elles hurlent et personne ne sait pourquoi — il y en a un il dit qu’il est inquiet — il dit que chaque hiver est plus dur il dit qu’il n’y a plus d’eau — par endroit c’est le feu — le feu avance et transforme les herbes jaune jaune en une terre noire et plus personne ne (...) -
Journal permanent | 13 juin 2012
13 juin 2012, par sebmenardLa plaine que j’habite - faudrait tout reprendre sans fin - je réécris le conte qui était pour la nuit précédente - ajoute des liens - la chaleur est chaque jour un peu plus - le soleil sur la peau dans le matin d’accord et l’après-midi nos corps s’usent et déjà que là (analyse en cours : nos nerfs usés de s’être battus dix mois presque - mais tout de même constater le chemin fait - les plaines parcourus - l’agrandissement de nos mondes intérieurs). Que les chiens aboient la nuit et nos corps encore chaud (...)
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La plaine que j’habite
25 avril 2012, par sebmenardretour au sommaire
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retour au collage #la plaine **troisième version
La plaine que j’habite est un territoire de poussière de bitume usé.
La plaine que j’habite est peuplée d’hommes raides et gris des temps des étés passés à arpenter la terre — ils traversent encore les rues jaunes les soirs et leurs pieds raclent leurs pieds calent.
La plaine que j’habite est immense et vaste — ses routes ont été tracées sur des cartes ses routes sont des coups de crayon sur des plans sans (...)