On roule sous le ciel gris noir et les éclairs blancs

jeudi 7 juin 2012, par sebmenard

retour au sommaire

retour à la planche-contact

retour au texte précédent


troisième version

On roule sous le ciel gris noir et les éclairs blancs derrière la vitre — les flottes s’abattent et tapent et couvrent le bruit du diesel et du bitume — la plaine est chargée complète et dans un shop on paye deux litres cinq de bière et huit bougies — sur un pont usé on traverse les eaux de l’Europe et on s’arrête au bord d’une baraque en béton — au loin sous la lune à peine les chiens aboient le vent frotte les herbes pendant qu’on avale du pâté en boite et cause.


seconde version

On roule sous le ciel gris noir et les éclairs blancs derrière la vitre - les flottes s’abattent et tapent et couvrent le bruit du diesel et du bitume - la plaine est chargée complète et dans un shop on paye deux litres cinq de bière et huit bougies - sur un pont usé on traverse les eaux de l’Europe et on s’arrête au bord d’une baraque en béton - au loin sous la lune à peine les chiens aboient le vent frotte les herbes pendant qu’on avale du pâté en boite et cause.


première version

On roule sous le ciel gris noir et les éclairs blancs derrière la vitre - les flottes s’abattent et tapent et couvrent le bruit du diesel et du bitume - la plaine est chargée complète et dans un shop on paie deux litres cinq de bière et huit bougies - on traverse les eaux de l’Europe et on s’arrête au bord d’une baraque en béton - au loin sous la lune à peine des chiens aboient le vent frotte les herbes pendant qu’on avale du pâtée en boîte et cause.

SPIP | squelette | | soutenir les auteurs | ISSN 2495-6910 | Suivre la vie du site RSS 2.0