journal permanent | 9 décembre 2013

Constat de grosse fatigue – même plus le jus pour lire écrire dans la respiration du train (déjà – dire ça : la respiration du train).

Ils nous refont le coup de la rail glissante – ce qui est assez hallucinant quand on sait comme les trains circulent de par le monde – pour la sémantique : un retard dû à une rail très très glissante.

En préparant des fiches pour les jeunes j’utilise Pages et me rends compte que certains réflexes Markdown apparaissent : je les tape ainsi – suis dans un entre-deux des outils de l’écriture et besoin de faire évoluer plus pour que ça tienne – Pages pas fait pour ça en tout cas.

Je ne sais pas quoi faire de ceci : debout dans le vent – je sais très bien avoir utilisé pour la première fois cette expression après Antoine Emaz – ça veut dire après Antoine Emaz évoquant Du Bouchet – je n’ai jamais vraiment lu Du Bouchet – mais une fois j’ai essayé de lire debout sur le vent – et depuis c’est un truc un gimmick qui sort souvent – je sais pourtant : il faut tout faire pour éviter les gimmicks lorsqu’on écrit – mais parfois ils comptent tout de même – ce soir c’est sorti ainsi : debout sur la poussière – j’ai gardé.