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journal permanent | 16 janvier 2016

samedi 16 janvier 2016, par sebmenard

Je cherche du poisson — de la truite — j’en trouve pas.


J’aime quand le journal de Guillaume Vissac à cette façon de mélanger (mais pas vraiment) les éléments :

Je dis pas que c’est plus pratique à l’usage quand on navigue dedans (la date et les mots clés qui servent de balises sont accessibles au vol de la souris) mais c’est plus cohérent graphiquement avec ce que c’est pour moi un journal. Idéalement, ce serait pas des plages de cent jours mais d’un an ; ce serait pousser fort, sans doute trop, sur le Spip, on n’a pas besoin de ça.

Non, ok, voilà ce qu’il faut faire. Un, oublier graisser la chaîne, c’est la graisse qui coince, c’est que la chaîne elle-même est bloquée contre le cadre au plus petit cercle denté qui soit (mais ça n’explique pas pourquoi le cable du petit plateau se déporte systématiquement — c’est-à-dire qu’il se tend — vers le plus dur développement possible). Deux, entreprendre pragmatiquement Mueller en lisant à voix haute et en insérant simplement des repères qui diraient écrire ici note numéro X à propos d’X truc et ne commencer (reprendre) la rédaction des notes qu’une fois le texte balisé dans sa totalité.

(donc voir sa page rubrique journal ou je ne sais comment appeler ça et c’est très très beau)


Là tu commences un truc avec des mots (ça t’es venu hier soir en visionnant Je lutte donc je suis — et ça t’es venu parce que tu lis beaucoup Daniel Bourrion ça aussi tu le sais tu peux pas le nier tu peux pas l’oublier et faudra que tu lui dises — on a tous des dettes dans le genre (bon ce qu’il te faut c’est rester concentré rester bien concentré et donc bien choisir tes mots).


Si tu cherches Bureau de tabac il suffit de taper Bureau de tabac dans un moteur de recherche (Lilo) et Bureau de tabac le poème d’Alvaro de Campos apparaît — c’est beau.


C’est peut-être pas si mal notre Est lointain comme titre.