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journal permanent | 26 avril 2017

mercredi 26 avril 2017, par sebmenard

Gelée au matin. Peut-être perdu quelques plants au passage. Soleil qui chauffe la cuisine (cuisine-salle-à-manger-étendoir-entrée-salon-garde-manger-etc.). On discute bécanes (vélos) et routes et fleuves dans le matin qui arrive.


Train vers la ville. La dame aux champignons. Photographié une porte (les tags dessus). Puis à la médiathèque. Je liste :

  • Salle des machines (Espitallier)
  • Hors du charnier natal (Claro)
  • définitif bob (Portugal)
  • Limite (Emaz)
  • Jours encore après (Checchetto)
  • Ici même (Checchetto)

Ainsi que Fire Notice (Houdaer) et Apollyon (Dubost) (tous deux dits « inempruntables »).

Suis tombé aussi sur le Big bang city de Mahigan Lepage, aux nouveautés (je le photographie).


En relisant l’article de Joachim Sené sur Remue.net, à propos de Soleil gasoil, je note encore :

 « pensées éphémères du regard tourné vers la vitre, comme les visions fugitives qu’on a d’un village où l’on ne s’arrêtera pas, d’une colline qu’on n’explorera pas »

(ça c’est très vrai, le côté éphémère, le surgissement, et comme il faut parfois savoir le noter assez vite pour en garder la trace, le petit truc qui permet d’y retourner mentalement, et écrire).

 « un rapport au monde qui est un transport »

(et maintenant, un an et demi après la parution, alors que je commence à en lire certains extraits en public, je le mesure aussi, je le découvre aussi, ce qui s’écrit n’est pas tout à fait dans le conscient, etc.)

 « un témoin du passage »

(vrai que je raconte beaucoup le passage, le quelque temps là, puis ensuite ailleurs, que je ne dis pas souvent les lieux où rester)


Notes prises et auxquelles, toujours, revenir.