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journal permanent | 27 avril 2018

vendredi 27 avril 2018, par sebmenard

Quand il s’agira de rouvrir ce Matériaux et espaces vides pour un récit il pourrait s’agir de l’idée d’une carte, carte best-of anthologie le meilleur de le meilleur de quoi (« tu dis vraiment n’importe quoi ») — dans une version numérique, certe, ainsi qu’une version papier, limitée (forcément !) — un genre de poster, une affiche, une carte (je pense au format IGN…) dans laquelle (sur laquelle) on retrouverait quelques textes — un best-of « comme on dit » — et donc ils se chevaucheraient, ce serait complet grâce à leur incomplétude, malmenés, les textes.

Les pistes qu’on a dans le train.


Pourquoi notre désir de tendresse est infini ?

 « Dans un mouvement tendre

C’est ainsi que Webern conseille d’interpréter le dernier moement d’une de ses pièces pour cordes : In zarter Bewegung. Zart, ça veut dire tendresse — se dit de la viande ou de la peau, mais aussi des bourgeons, des pastels ou d’une feuille qui se déplie. Quelque chose qu’on dévore ou qu’on n’oserait toucher que du bout des doigts ? Ou les deux à la fois ? »

Olivier Cadiot, histoire de la littérature récente, tome 2, POL, p. 12.