Ce mardi 20 novembre 2018, Antoine Leroy et moi-même, nous ferons une performance (bien entendu : « non-reproductible & inachevable » !) lors de la journée Ébullitions organisée par le Bibliopôle 49. Ça s’appelle Notre désir de tendresse est infini — comme une extension à chaque fois recommencée du livre. Il y aura des poèmes et un oud. Il y aura des étagères en métal et des chaises. Il y aura un plafond bas et un micro Sennheiser MD441-U3. Il y aura des rayonnages de bouquins et des feuilles de papier. (...)
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Leroy, Antoine
Articles
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Gratture-parlée — 20/11 BDP49
15 novembre 2018, par sebmenard -
journal permanent | 7 avril 2016
7 avril 2016, par sebmenardTrikala — Dimitra.
75km.
De beau temps (l’odeur des fleurs de sureau dans l’eau chaude au matin sur la terrasse) à couvert (vu le déplacement de la zone de dépression vers l’est — noté les valeurs de pression atmosphérique pour faire évoluer le réglage de la montre : se tenir au courant des dénivelés).
La route du jour était plate : seulement 600 mètres de dénivelé positif… Au soir à l’intersection on prend à gauche (c’est à la sortie de Dimitra) on se retrouve sur l’ancienne route probablement — une (...) -
On se lève tôt et tout est chargé
29 mars 2012, par sebmenardretour au sommaire
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retour au collage #tout est chargé
On se lève tôt et tout est chargé — on les monte sur la place et il fait gris — faut remplir ras la gueule de gasoil et on décide de prendre une photo par heure sur la route — ça en fait beaucoup trop mais à la fin elle fera tout de même un grand collage — la route est droite toute la mâtinée — c’est pas vraiment vrai si on regarde les photos et au moment d’avoir faim on n’a pas une tune pour ça ici donc sur la place du (...) -
journal permanent | 21 juillet 2015
21 juillet 2015, par sebmenard110km.
Baja (Hongrie) — Kopačevo (Croatie).
Grand chaud.
Les zones de frontières : longtemps passé des frontières en bagnole – ou quand on n’avait pas de bagnole on prenait un bus (Turquie — Syrie) – un taxi (Syrie — Liban) – un bateau (Espagne — Maroc) – mais chaque fois on ne sent pas vraiment physiquement la frontière – c’est aussi ça ce que nous faisons maintenant – c’est aussi ça sans doute ce qui se dessine avec notre projet images a trip to feel Europa : sentir ce qui a lieu – et donc aujourd’hui (...) -
journal permanent | 22 février 2017
22 février 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
C’est un jour-fruit (pour le jardin, pour les Lointains & possibles, pour la route, pour la voix, pour le oud, pour les vents, pour les dérives, pour les bouches) (etc.) -
Et la route était noir noir
2 mars 2012, par sebmenardretour au sommaire
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retour au texte précédent **seconde version
Et donc on venait d’entrer dans le pays — dans la bagnole on n’arrête pas de causer c’est le moment mais comme il fait sombre on fait pas trop de photographies — on s’arrête dans un village et on cherche comment changer nos billets il y a un type aux clopes il dit d’aller au distributeur — on met les billets dans la machine et d’autres sortent — on file dans la bagnole c’est tout droit tu as déjà pris deux fois (...) -
la route | 21
17 février 2013, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
un jour il faisait noir et autour d’un feu ils parlent :
dans une main ils ont des viandes et des morceaux de pain
sans doute qu’ils pensent aux viandes et aux morceaux de pain
l’un d’entre eux dit on ne devrait pas manger ça vraiment pas
un autre est là pour expliquer que c’est pour voir des choses qu’il faut voir des types et leurs mondes il faut aller écouter leurs langues et les avoir tous vus et après peut-être on comprendra
avec un morceau de bois (...) -
Poème du travail et de la fatigue [18/29]
2 décembre 2013, par sebmenardCe matin — usé rincé — pourtant premier jour — lundi — de la semaine — me sont revenus de petits morceaux de discussions. Mes vieux potes ils disaient que le travail c’est l’horreur on rentre le soir et puis rien le cerveau il est froid mort. Alors bien sûr : c’est un mensonge ce poème car ce jour-là — ce très cher ami ne disait pas froid mort mais qu’importe un autre il disait que nous ne sommes sans doute pas fait pour ça — s’épuiser au travail. Un peu de temps vide. Juste un peu. Voilà ce qu’il nous (...)
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Or donc on avait éclaté un pneu
8 mars 2012, par sebmenardretour au sommaire
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retour au texte précédent 2troisième version2
Or donc on avait éclaté un pneu — le plein soleil sur la bagnole et l’herbe qui sèche autour — l’odeur d’un feu de bois parce qu’il s’était dit qu’on pourrait manger des morceaux de pain grillés avec des tomates de l’huile et des herbes — à côté c’est un torrent l’après-midi on s’y baigne mais là on vide la bagnole — elle est vraiment trop chargée et les bouquins attendent au soleil — avec la roue de secours on va (...) -
journal permanent | 27 octobre 2016
27 octobre 2016, par sebmenardC’est presque un secret ce projet de l’ours pour l’instant. Mais ça me paraît vraiment bon. (penser à trouver une plateforme collaborative — mais il devrait s’agir d’un espace de publication en fait — un silo non pas un silo : des accès multiples — une coopérative de silos (mais alors des petits silos hein — pas d’indus’).
Penser à aller récupérer un 85mm. (aller-retour train vélo)
Dans un petit carnet j’ai trouvé la solution pour inventer une fiction. C’est faux car j’ai aussi une fiction là dans ma machine (...)
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