tout ce qu’on peut sur les animauxen tant que personnes.le nom des arbres, des fleurs et des herbesnoms des étoiles, et le mouvement des planètes et de la lune.
les six sens dont on est pourvuavec un esprit éveillé et élégant.
au moins une sorte de magie traditionnelle :divination, astrologie,le livre du changement, le tarot ;
rêvesles démons illusoireset les dieux brillants de l’illusion ;
embrasser le cul du diable et bouffer sa merdebaiser sa queue lubrique et râpeuse ;baiser la sorcièreet (...)
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train
Articles
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Chants | "tout ce qu’il faut savoir pour être poète" (G. Snyder)
31 octobre 2019, par sebmenard -
Daniel Bourrion, la langue-vie, articuler
26 avril 2012, par sebmenardContinuer une petite série Daniel Bourrion - c’était lecture dans le train Drăgăneşti-Olt / Bucureşti avant bref séjour en France.
Déjà souligné ça chez Daniel Bourrion - le creusement de la phrase - du mot - de la langue
Avec ma langue enfuie a disparu un monde, mon monde, celui dans lequel je suis né, celui d’avant ma vie et du commencement de cette vie, celui des premiers pas et des premières paroles, des premiers gestes et des visages tels que des montagnes dont la plupart ont à présent disparu, (...) -
journal permanent | 23 décembre 2015
23 décembre 2015, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Lorsqu’ils arrivent c’est étrange il y a tellement de choses à dire à raconter les mots vont-ils suffire en fait (reprendre le fil — tout dire — et puis penser). -
journal permanent | 25 avril 2016
25 avril 2016, par sebmenardBacks — Szolnok.
Combien de kilomètres en vélo — combien en train.
De la pluie (c’est pas vrai : jusqu’à 10h00 il ne pleut pas) (mais quand même — trempés).
Terminé la lecture d’Ali et Ramazan. Très puissant. Très fort. Langue surprenante. Ça fonce j’ai envie de dire. Mais avec plein de précautions. Le genre de truc ça te prend et tu files le livre parce que tu veux savoir (même si tu sais déjà). Le train lui roule lentement. Les gouttes sur les vitres. S’arrête dans les petites gares (c’est aussi un petit (...) -
journal permanent | 20 mars 2017
20 mars 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Ce n’est pas souvent que tu montes au quoi, septième étage peut-être, d’une ville. Réunion de travail. Il y a un truc, probablement, les lieux où écrire, où lire, ce dont on parle, ce jour-là, existe là.
L’image : ces wagons vers l’ouest de la gare d’Angers. -
Daniel Bourrion, 19 francs et une histoire (au moins)
25 avril 2012, par sebmenardDonc j’ai juste dit au libraire pas moustachu mais avec des lunettes rondes et une tellement bonne bouille : « J’ai vingt francs, vous avez un livre pour moi ? »
Dans mon iPod il y a une note après ce paragraphe - impossible de la comprendre aujourd’hui - « mettre les mots » - note tapée dans le train le vendredi 30 mars 2012 - incapable de comprendre exactement aujourd’hui pourquoi.
19 francs - c’est une histoire très simple (mais seulement en apparence) et très belle - y résonne dedans quelque (...) -
04.03.2011
4 mars 2011, par AnCé t.vue du train, photographie à l’iphone, ShakeIt Lite, AnCé t.
http://diafragm.net/spip/spip.php?a... -
dans cette plaine (un récit) | les images (ce qui reste)
11 novembre 2012, par sebmenardimage : SebMénard, la plaine depuis le train Bucarest-Drăgăneşti, Eos 5D.
http://diafragm.net/spip/spip.php?a... -
Poème des couvertures à l’entrée de la gare [9/29]
6 novembre 2013, par sebmenardAujourd’hui — en passant l’entrée de la gare j’ai vu une fois encore les couvertures posées là — les tas de couvertures. Elles sont alignées contre les vitres — elles ne bougent pas — c’est tout à fait immobile — les néons blancs éclairent l’ensemble et le vent souffle des sacs plastiques des papiers des feuilles des trucs certains s’accrochent aux couvertures à leurs poils. Aujourd’hui — en arrivant à la gare — je suis passé vite — très vite — à côté des couvertures posées là — commme d’habitude — et je ne me (...)
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matins dont tu tu souviens, avec les fantômes | 3
8 juin 2011, par sebmenardliste des matins dont tu souviens (avec les fantômes) (première partie) (deuxième partie)
tu t’étais réveillé ta gueule contre la vitre d’un train et l’odeur des clopes qu’ils fument à l’arrière sans se faire voir - ça filait vers le sud
tu t’étais réveillé sur le haut de la falaise et le vent frais du matin pleine gueule - le bruit des vagues - les oiseaux les bouteilles vides - le moteur d’une bagnole accélère au loin
tu t’étais réveillé ta gueule contre le tissu usé poussière des sièges d’un train vers (...)