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Que reste-t-il de ta lecture de JP Dubost ? De celle de Rigoni Stern ? Quelques notes dans un carnet (ouvert ici, sur l’ordinateur ?). Tenter. Rater. Rater mieux (encore) (Beckett ?). Le soir est long et dans la nuit il y a des mots d’Echenoz, de Quignard (faire fonctionner tout le pronominal), de Michon (vivre pour l’ivresse — écrire est une belle ivresse), de Bon…
Et puis, question d’importance : qu’est-ce qui, petit, t’empêche de fermer l’œil ainsi ? (« (...)
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Rigoni Stern, Mario
Articles
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journal permanent | 5 juillet 2017
5 juillet 2017, par sebmenard -
journal permanent | 8 août 2017
8 août 2017, par sebmenardLe passage de la capture des ours, dans les notes de Valentin Pajetnov : nécessité de capturer pour observer ?
Des pluies. Un courrier dit que ce n’est pas activité d’auteur (il y aurait long à discuter, à souligner sur ce point) (quand bien même on ne porte pas d’importance à en faire métier — même s’il en faut, du métier, pour écrire (Biga) — mais qu’on nous laisse tranquillle de ce bazar)
« Personnellement, je n’aime pas non plus les serres et les produits récoltés dans les serres. Quel sens cela (...) -
journal permanent | 17 juillet 2017
17 juillet 2017, par sebmenard« Test amis en vers » (Avertissement ?) dit Valérie Rouzeau (mais où ?) — et donc on pourrait mettre les citations dedans le texte, en fin de volume, à travers, en travers, par devers, en italiques, entre guillemets (et on le retrouverait chez JP Dubost par exemple) il reste une question d’importance : quel travail honorable honorer pour les jours ? (être « poète officiel de la SNCF » serait hors-concours — bien entendu).
Je lis Mario Rigoni Stern, Arbres en liberté, et je pense qu’ensuite se défaire (...) -
journal permanent | 9 août 2017
9 août 2017, par sebmenard« Si je me remémore d’autres expériences du passé, une remarque s’impose à moi : au moment où certains animaux se sentent malades ou sont blessés, ils viennent à proximité des maisons des hommes pour demander de l’iade, et se laissent approcher, alors que cela n’arrive jamais de leur vie normale de bêtes sauvages. Mais ensuite, quand ils aperçoivent que la fin va arriver, ils se retirent dans un lieu écarté pour mourir dans la solitude. On dirait qu’ils ne veulent pas déranger, ou émouvoir par leur (...)
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journal permanent | 29 juin 2017
29 juin 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
À Myriagone il y a les mots Mario Rigoni Stern (c’est ce livre jaune, dans la vitrine, Hommes, bois, abeilles), Pedro Paramo et Volodine.
À la bibliothèque on émet des doutes sur mon travail en salle d’étude (je suis venu avec une pile de Jean-Pascal Dubost, de Daniel Biga, de Juan Rulfo) et d’ailleurs je pourrais aussi aller « travailler » sur un fauteuil et même, mieux, s’il y a trop de monde, je devrais partir.
Dans ma tête ou sur mon écran ou quelque part, (...) -
journal permanent | 31 juillet 2017
31 juillet 2017, par sebmenardSoir avec A.
Je mets une plombe à formuler ce truc d’être dans la rue, d’être dans la rue pour y vivre, s’y rencontrer, échanger, parler, décider peut-être aussi : Mario Rigoni Stern évoque la réunion annuelle de décision de partage des bois (et le travail, en groupe, qui suit, dans les bois) (récit de la pause du midi, des discussions, du repas et de la reprise du travail) (son du bois coupé), il évoque encore le vieil émigrant (le dernier voyage d’un dernier émigrant ?) de retour sur sa terre natale (...) -
Biga, Daniel | Octobre, 2001 in. La Poévie de Daniel Biga
16 juillet 2017, par sebmenard« Autrefois ils combattaient avec et contre la nature les lions ou les ours ou les loups ; nous sommes les lotoroutiers risquant notre vie entre deux vint-tonnes qui luttent et se doublent ; pêcheurs marins explorateurs corsaires ils naviguaient sur des mers dangereuses inconnues ; nous louvoyons entre les bagnoles écueils des villes tentacules ; ils chantaient et jouaient et dansaient eux ; nous écoutons nos CD sur nos chaines HI FI vautrés dans nos divans ; ils marchaient dans les prairies et (...)
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journal permanent | 19 août 2017
19 août 2017, par sebmenardDans les ruines de la carte :
« (…) il n’est pas de roman qui soit peu ou prou bricolé. Ce qui ne veut pas dire faux, ou fabriqué, ou encore fait pour être lu, vendu, critiqué, récompensé. Tout au contraire. Mais le roman authentique, le roman qui dirait toute la vérité, rien que la vérité, n’existe pas. »
p. 161
Puis Stasiuk, à tonalité plus politique dans Fado. Ce que je recopie ici est-il politique ?
« Je rêve de tours de guet vermoulues dans des endroits déserts et de cyclistes poussant leurs (...)
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