Tôt à lire.
Relecture de Tabacaria de Fernando Pessoa :
« Aujourd’hui je suis divisé entre la loyauté que je dois au Tabac d’en face, chose réelle au dehorsEt la sensation que tout est rêve, chose réelle au dedans. »
(et puis retrouver l’Apothicaria de Valérie Rouzeau)
Ou encore, pourquoi être tombé sur L’Ascension du Mont Ventoux (Pétrarque, traduction Denis Montebello) ?
« Dans une petite vallée, nous rencontrâmes un vieux berger qui tenta de mille manières de nous dissuader de monter, nous (...)
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Rouzeau Valérie
Articles
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journal permanent | 24 octobre 2017
24 octobre 2017, par sebmenard -
journal permanent | 24 février 2022
24 février 2022, par sebmenardhier j’écoutais Valérie Rouzeau direqu’écrire en ces tempsc’est compliquéouaip voilà
après-midi à grelinerporter ratissergrattersemer
au soir je rentredans l’abriau chaudles mainscourbatturées je suislà -
journal permanent | 8 février 2023
8 février 2023, par sebmenard« Par la suite, il y aurait Les Radis bleus de feu Pierre Autin-Grenier dans la même veine et autant de joie pour moi lectrice. Je n’avais pas encore lu de poésie contemporaine anglo-saxonne, où le quotidien est légion si j’ose dire, je n’avais encore rencontré ni Stephen Romer ni Susan Wicks, et j'explorais ces espaces nouveaux avec gratitude. »Valérie Rouzeau, Éphéméride.
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journal permanent | 15 décembre 2021
15 décembre 2021, par sebmenardjours au plus sombrelumière dans le gris noir
matin brumeépaisse mouillée bien bien
continuer
Valérie Rouzeau, Éphémèride : les pp. 119-121, et 122-129 (mais où ai-je mis le livre ?)
soirvélotrois perdrix deux chevrettes
un vol de cygnesle long du fleuve
maintenant que les jours s’effacentje prends notedes trois perdrixdes deux chevrettesdu vol des cygnesà remonter le fleuveje prends note et les trois perdrixsont trois perdrixdeux chevrette deux chevrettesun vol de cygnes vol de cygneset le (...) -
journal permanent | 24 septembre 2021
24 septembre 2021, par sebmenardmaintenant que les jours s’effacentje dompte des lunes pleinesen me couchant si tôtqu’un poète ne veut rien dire — et il y a quelque chose qui me couleen dedans attentionrien de divin ce n’est pas fe çaqu’on cause (si tu vois ce que je veuxdire) — le reste du jourà tenter d’une autre manièrde fabriquer de la terre— la poésie.
je note encore : le dernier Jean-Pascal Dubost, comment ai-je pu le laisser passer ?et Valérie Rouzeau
À l’abri : encore que certains soirs, c’est étrange, et pourtant c’est bien (...) -
journal permanent | 3 janvier 2022
3 janvier 2022, par sebmenardhabitat : peu importe sa taille, mais besoin des essentiels (où dormir, où manger, où travailler, où se laver — et concerne chacun au sein du foyer… et la possibilité d’aller et venir dehors, la possibilité d’être au dehos)
un rapace tourne dans le cielpremiers jours de l’annéedix ou quinze degrés« c’est le premier hiver où il fait si chaud »dit mon fils de 5 ans
la poésieest-elleun étatd’auto-hypnose ?l’état de flowde concentrationintensel’être làdu poèmec’est la vievraiment làquand làtout est là
une (...) -
journal permanent | 18 mai 2022
18 mai 2022, par sebmenardlu et relu Valérie Rouzeau
à l’abri : comme les bêtes tournent autour de l’inconnu — par curiosité, et par instinct — nous tournons autour de Babadag et les vents balaient la poussière les graminées jaunes — le soir, ça sent le feu, le plastique chaud, la friture et le bois vert.
voir Fado, de Stasiuk.
à l’abri : rien de plus fragile que la fragilité à laquelle tout conduit (Bouvier) sinon grosse journée à fendre classer ranger bûcher — bûcher le bois d’abord — rien de plus fragile prépare lentement (...)
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