43km.
Athènes — Kineta.
Beau temps — soleil. Le vent est assez fort encore — et frais. Sommes passés par Le Pirée puis Salamina — traversée de l’île avant de prendre le bac pour l’autre rive — en attendant on dit que le bac c’est comme sur le Danube - on dit qu’on n’imaginait pas prendre autant de fois le bateau (mais c’est peut-être une des dernières fois).
Ouvrir un nouveau dossier avec des notes de travail — à propos de quitter les villes — ce serait un lieu pour des notes et des pistes ou pas — des (...)
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Athènes
Articles
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journal permanent | 28 mars 2016
28 mars 2016, par sebmenard -
journal permanent | 19 mars 2016
19 mars 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Dans Athènes.
La foule.
Le soir « on » se retrouve. -
journal permanent | 27 mars 2016
27 mars 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
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journal permanent | 29 octobre 2018
29 octobre 2018, par sebmenardJe suis foutuement ignorant et, parfois, devant cette ignorance, j’envie le temps, j’envie l’arbre, j’envie le temps de l’arbre — j’ai besoin d’une vie d’arbre pour amonceller des morceaux, des morceaux de quoi ? des suites de morceaux qui feront peut-être un quelque chose — mais sans ça, sans ce temps de l’arbre, comment faire ? —
et je me souviens des oliviers d’Égine, en face d’Athènes en Grèce et comme le temps de l’olivier doit être bon (POÈME D’AMOUR :
hier au soirdans la lumière de l’automne (...) -
journal permanent | 20 mars 2016
20 mars 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Des bagnoles un flux qui ne s’arrête pas.
Revoir aussi les photos d’Athènes.
Penser au son.
Des vitres qui vibrent.
Des sacs plastiques.
Des plantes crevées.
Pour les monstres : une tortue à Athènes.
Mais garder le projet des mots des villes quitter les villes oui mais que ce soit des histoires.
Le goût des oranges des arbres des (...) -
Cosnay, Marie et Gondicas, Myrto | Ces nuits sont à toi, Alexis
4 juillet 2016, par sebmenard« (sans date)
Le matin, avec les bruits d’arrosage sur les terrasses, celui du ferrailleur-récupérateur ambulant qui tourne avec son camion. Message enregistré diffusé par un mégaphone, il prend tout, débarrasse les cours, les terrasses, les terrains (sauf erreur, on ne mentionne pas les caves) ; la voix monte et descend sur quatre notes et je reconnais la mélodie entendue au siècle dernier du maraîcher passant avec sa carriole, son âne, ses pastèques. Plus tard, nous le voyons repasser dans la rue, (...) -
journal permanent | 13 mars 2016
13 mars 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Marathon — Égine.
Pas noté le kilomètrage.
En arrivant sur Athènes on file vers un métro — on met les vélos dedans et on file plein sud vers le Pirée — au Pirée on prend un bateau et on arrive à Égine sous la pluie — il pleut beaucoup trop — la nuit tombe vite — tout est trempé — le vent le froid — on prend une chambre — on va manger des poissons grillés — on fait (...) -
journal permanent | 18 mars 2016
18 mars 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Athènes.
Au réveil la vue sur la ville — d’ici ça paraît bien — ça paraît trop mais ça paraît bien — enfin c’est une ville (quelques dizaines de minutes plus tard entre les bagnoles et les scooter — « troupeaux de mobylettes » chante le poète — on dit que c’est vraiment trop crade le bitume l’asphalte le béton les bagnoles ça nous prend à la gorge).
Nouvelles pompes — quelques petits matériels pour continuer la route — notre budget on va essayer de le tenir. (...) -
Je suis un monstre des chemins | 52
5 avril 2016, par sebmenardTu le crois toi une tortue à Athènes on l’a vue enfin pas vraiment — l’un d’entre nous aura dû le dire la tortue vous l’avez pas vue la tortue — et nous on est revenus sur nos pas comme pour voir un trésor une tortue dans Athènes il faisait chaud c’était mars et demain tu avais trente ans.
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Athènes
29 novembre 2017, par sebmenard“Notre monde moderne est tout occupé de l’exploitation toujours plus efficace, plus approfondie des énergies naturelles. Non seulement il les recherche et les dépense, pour satisfaire aux nécessités éternelles de la vie, mais il les prodigue, et il s’exécute à les prodiguer au point de créer de toutes pièces des besoins inédits (et même que l’on n’eût jamais imaginés), à partir de moyens de contenter ces besoins qui n’existaient pas avant.”Paul Valéry, Le bilan de la connaissance, éditions Allia.
(…) nous (...)