CulturesMonde au réveil. L’émission s’appelle De Jack Kerouac à Nicolas Bouvier : la route c’est la vie. Mais que raconte-t-elle ?
Pile de bouquins posés à côté qui grandit.
À recopier des textes de Daniel Biga. J’ai corné trop de pages. J’ai marqué trop de passages. Je saurai (peut-être ?) y revenir. Envie de lire le tao. Peut-être un qui traîne dans la pile à côté. Mais Biga : toujours cette même bouffée d’air, d’oxygène, cette respiration. Relire Biga. Toujours relire Biga.
(liste p. 59 — noms de plantes (...)
Accueil > Mots-clés > diafragm > Bouvier Nicolas
Bouvier Nicolas
Articles
-
journal permanent | 27 juin 2017
27 juin 2017, par sebmenard -
journal permanent | 25 novembre 2013
25 novembre 2013, par sebmenardLevé 5h30 pour le boulot de la semaine — avec la fatigue et l’envie de finir le bouquin d’hier soir : Nicolas Bouvier Carnets du Japon.
Observer comme Twitter va propulser des textes : hier soir Roxane Lecomte repère la série des fantômes — et ça se répand rapidement dans la nuit — intéressant comme de plus c’est cette série strate — étape du travail sans doute — qui a été repérée d’abord (repenser notre page d’accueil) — en blanc HTML comme avait écrit une fois Guillaume Vissac.
Pour le reste : rien – le (...) -
journal permanent | 17 avril 2014
17 avril 2014, par sebmenardNote exhumée du bloc-note numérique et datée du 31 mars 2014 (jour probable du début de la lecture de la correspondance Bouvier/Vernet)
Pas la première fois que je lis que dans l’expression écrivain voyageur Bouvier était surtout le premier
| note |
cette sensation
quand on vide
le corps quand on s’épuise
c’est comme
vraiment
(à peine)
un voyage non
rouler rouler rouler (trois fois)
Cette sorte d’improvisation d’écrire dans ce qui s’appelle | note | : c’est comme parler debout devant (...) -
Bouvier, Nicolas | Il faudra repartir
17 octobre 2016, par sebmenardIndonésie, été 1970
“ POÊME
Un grand cerf-volantplus grand que l’homme qui le portaitva-t-il descendre sur son villagemoi j’ai le cœur lourd de quittercette ville — petit théâtre —l’avion ne pourra décolerje resterai ici, jardinierpeut-êtreà sarcler et à marauder dansle vert intenseà faire pousserle jasmin et l’herbe d’oublisous les ailes rouillées des avionsde chasse.“
France, 1957-1958
“ Journal d’un voyage en France.
« Mordefrois, c’était Mordefrois qu’y s’appelait… Ah ! la vache… Y m’a jamais fait (...) -
journal permanent | 18 juin 2014
18 juin 2014, par sebmenardEn rattrapant mon retard dans la lecture du journal de Joachim Séné je vois qu’il y cause de graines et de Marc Giraud (découverte) – de la disparition de la profession d’herboriste sous Pétain (je pense à ce que l’on sait de ce métier aujourd’hui) (il y a ce film apparu récemment) – on a parlé de ces choses (à peu près) avec A. mardi soir puisqu’il est rentré des Amériques.
Pour le mot permaculture : http://www.fermedubec.com/.
Avancé lente dans la correspondance Bouvier/Vernet.
| note |
les notes (...) -
Blocs | 8
22 juillet 2019, par sebmenardgrande lune / blanche / puissante — le dedans le dehors et les années sans écriture sont-elles possibles — ça non chaque phrase est un appel à, un appel à écrire ou un uppercut à l’inquiétude à notre besoin de consolation, à notre désir de tendresse à ce qu’on ne sait plus nommer et c’est comme refonder quoi ? la promesse de ne plus écrire ? 6 et c’est traces, poussières, surgissements, refuges ça, cette histoire et quelques autres et même plus d’histoire, rien, de la matière — grande lune / blanche / (...)
-
Lointains & possibles (60)
2 décembre 2016, par sebmenardPour l’argent, ils s’arrangent. Ils ont des tas de billets dans leurs sacs. Contre leur peau. Au fond des chaussures. Ils creusent et dans un pot en verre, ils laissent quelques dizaines de billets. Il faudra revenir, il faudra repartir. Parfois, ils ouvrent leur sac sur un trottoir. Ils étalent des objets sur un tissu, au bord d’une route, dans une ruelle. Ils échangent quelques morceaux des routes contre des pièces ou des (...)
-
journal permanent | 6 novembre 2013
6 novembre 2013, par sebmenardPas les mots — fâché mais contre quoi. Nicolas Bouvier écrit (Le vide et le plein, carnets du japon 1964-1970) :
"Notre quartier, territoire de soyeux pauvres, vit dans l’ombre austère du Daitoku ji. Le temple — plutôt le complexe de vingt-deux temples qui le composent — est pauvre et puissant, le quartier est pauvre-pauvre mais nourrit les temples qui usent de leur prestige et de leurs superbes bâtiments pour faire vendre la soie."
C’est surtout cette répétition : pauvre-pauvre qui claque — (...) -
journal permanent | 17 avril 2013
17 avril 2013, par sebmenardPas mal bossé sur des trucs déjà "écrits" dès le matin — dans cette plaine et des voix parlent encore dans le noir essentiellement — et puis avancé sur les fantômes — attendu un micro Sennheiser MD21 pas encore là ainsi qu’un 50mm 1.4 — lu Nicolas Bouvier — cette envie de prendre la route encore — quand Thierry Vernet en a marre au milieu l’hiver parce que ça fait plusieurs mois qu’ils sont à Tabriz et qu’ils sont bloqués là-bas et sans doute parce que le voyage en fait c’était pas vraiment ça — ce qu’il faut (...)
-
journal permanent | 18 avril 2013
18 avril 2013, par sebmenardPas les mots pour dire certaines choses — attendre — travailler — continuer le travail de sape — pas s’arrêter surtout pas — shaper les textes les mots qu’abruptent.
Repris pendant le trajet du matin la liste des choses difficilement vues — ça sera donc ça — bande-originale Trio Joubran — besoin de relire voix haute — peu de textes encore dans la série — bientôt tout sera en ligne et relié.
Lecture : Nicolas Bouvier (départ de Tabriz) et beaucoup de (...)