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C’est comme s’il fallait faire un blanc. Un tiret. « Vifs tirets » ça c’est Kerouac — à peu près. Mais laisser de côté tous les textes. En faire un neuf en quinze jours. C’est faux bien sûr. Et il y aura des virgules.
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Traité des poussières
Articles
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journal permanent | 17 août 2016
17 août 2016, par sebmenard -
Traité des poussières | Sommaire
23 septembre 2016, par sebmenardEsquisses pour une tentative de traité des poussières en quelques fragments
1 - Nous avons suivi des poussières des ombres et des soleils (…)
2 - De ce traité
3 - Vers l’est
4 - Jazz de la poussière
5 - Les mots du poème
6 - Allongés sur la terrasse
7 - Approche graphique
8 - Chant des poussières
9 - Micro-poème
10 - Liste
11 - Questions
12 - États de la poussière
13 - Au fleuve
14 - Du lieu des poussières
15 - Exercice pratique
16 - Lieux où la poussière n’est pas la bienvenue
17 - Je (...) -
Traité des poussières | 55
20 septembre 2016, par sebmenardDeux à trois heures. Les pieds dans la poussière. À faire tomber les outils dans la poussière. À suer (le soleil tapait fort sur le toit en tôle du garage). Parfois un mouvement brusque : c’était alors un petit nuage de poussière qui se soulevait. Une vis tombée là. Les mains dans la poussière à la rechercher. Les freins du vélo étaient impossibles à réinstaller correctement sans gaine. Il me faut une nouvelle gaine. Combien de grammes de poussière aura-t-il fallu pour que je le comprenne (...)
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journal permanent | 29 août 2016
29 août 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Chez S. — allume la forge au matin. Poussière. (avant : vélo pour remonter la Loire depuis le petit village ici — jusqu’au sien). Deux textes et un couteau. Au jardin il est question de radis. De salade. Cette histoire de forge ça me donne envie d’argile et de paille — ça me donne envie de bois — de four à pain — « entre autres choses ». -
journal permanent | 24 août 2016
24 août 2016, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
Vidéo François Bon (je transcris) :
« (…) à qui ça s’adresse ? On sait pas. Mais peut-être justement c’est ça aussi, et la littérature, et le web : qu’est-ce que ça fait qu’on ne sait pas à qui ça s’adresse ? Ou à un seul, très loin, et qu’on ne connaît pas ? »
Des textes sur la poussière. Ça continue. Je m’étais donné une quinzaine de jours. Mais si ça continuait ? Et puis il y a des haïkus ratés — l’arrivée d’une dizaine de Soleil gasoil par livreur — des choses comme (...) -
journal permanent | 11 octobre 2016
11 octobre 2016, par sebmenardMatin. Ciel bleu rose jaune. Réveil lent du corps. Là à penser. Étirements dans le même temps. Écoute les bruits. Écoute le son. Le son du matin ici. Très atténué. Vitres. Murs. Pendant deux heures ensuite : une brume puis le ciel bleu. Le ciel clair et jaune et bleu vers l’est — puis la brume (sur la route du marché je déclenche l’obturateur sans faire la mise au point) (je repense à cette marche vers le sud de la Roumanie — à Turnu Măgurele en fait plus exactement — un jour de novembre ou de décembre il (...)
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Traité des poussières | 4
26 août 2016, par sebmenardLe jazz de la poussière dit les mots du jazz et de la poussière. Le traité des poussières pourrait se nommer le traité des jazz & des poussières. Mais tu ne sais rien des jazz. Et tu ne sais rien des poussières.
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journal permanent | 31 mars 2017
31 mars 2017, par sebmenardhttp://diafragm.net/spip/spip.php?a...
une journée qui commencepar le constatde l’absence du mot-clé Tardieu, Jeandans le Diafragm
et qui répare cet oubli, ce manque, ce trou béant(le vide ! le néant ! l’oubli ! la brume !)
ne peut être une journéemanquée
(qui plus est lorsque c’esten recopiant un poème de Roger Lahu)
Et si tu écrivais les choses sur des rouleaux de papier de calage, de rembourrages ? Est-ce que ça changerait la « teneur » des choses (des poèmes ? des mots ? des calages ? des (...) -
Traité des poussières | 6
27 août 2016, par sebmenard11 août. À vingt-trois heures le lampadaire dans la rue s’éteint. Allongés sur la terrasse, nous attendons dans la nuit. Nos corps sont l’un contre l’autre. Il fait un peu froid. Il fait d’ailleurs plutôt froid « pour un mois d’août ».
Là,c’est un avion.
Les étoiles, on ne connaît pas leur nom. Les ciels tournent si vite. Une étoile filante, il faut l’attendre longtemps.Au loin une bête.
Là,c’est une chauve-souris.
Nous posons nos mains sur un ventre. Quand les mots du récit disent « nous nos corps sous le (...) -
Traité des poussières | 5
27 août 2016, par sebmenardComme poussières les mots du poème eux vont souffles lents entre les vents les rivières.