Dès le matin lecture de Buchenwald Transmission : l’impression que tout se tend jusque le dernier paragraphe qui vient secouer l’ensemble — puis reprendre Nicolas Bouvier (c’est une spirale ce premier départ de Tabriz puis le retour).
L’après-midi on ouvre les yeux à Lausanne et c’est pour voir les images de Gilles Caron — la douleur et le dégueulasse de la guerre — cette image d’un chien près du cadavre d’un soldat égyptien désert du Sianï 1967 et ce qu’il porte dans sa gueule — "n’être que témoin (...)
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