diafragm

Accueil > Carnets | SebMénard > Traces, poussières, surgissements, refuges > Blocs | 124

Blocs | 124

samedi 28 septembre 2019, par sebmenard

mais je me tiens debout sur le vent de ce silence, et je puise là de quoi tenir — or je sais que les mots ne disent rien et j’aimerais te parler — mais je vois le grand Moloch des poèmes et des ombres et la parole elle-même est surgie des tréfonds comme l’arbre, elle s’ouvre, s’offre au monde.