Chez Joachim Séné :
« Cette liberté doit être laissée au lecteur et cela impose d’en dire le moins possible, parce qu’il faut écrire. »
Ce qui peut paraître évident — mais le dire — le répéter.
Un truc avec une histoire de masque de l’est – j’avais noté ça et puis on y arrive doucement – laisser aller – laisser filer — surtout ne pas trop intervenir — tout le travail est là : s’empêcher très sérieusement toute possibilité de barrière de redirection – toute intervention – laisser les mots survenir.
Des trucs très importants :
- alléger A fourteen tracks extended play – en faire un truc très très léger – je veux dire au sens des mots du poids des mots parce qu’il y a trop de mots j’en suis persuadé il y a trop de mots — et donc à la fin ça sera bien – ça peut être fait tout de suite – là – bientôt – guetter une porte – les mots reposent depuis six mois pour les plus récents
- alléger les monstres des chemins – garder l’énergie de cette langue et puis faire du tri – laisser de côté certains monstres peut-être
- alléger aussi alors on avait voulu rouler vers l’est – mais se garder ça pour plus tard – laisser venir encore – puis reposer – ensuite travail de sape — mais le prévoir dans un rythme beaucoup plus rapide que le 14 tracks — laisser seulement quelques semaines entre le moment qui ressemble à la fin — quand « ça tarit » — et puis le moment de tout reprendre.