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croquis, 121
mardi 10 janvier 2012, par
la plaine est plaine et y’a pas une bête à l’horizon
qu’existe même plus l’horizon sous la brume et les champs ouverts dans le froid de l’hiver
la route qu’ils viennent de finir est une langue noire étendue plate et plus rien n’a de nom
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