(qui) s’imaginent quel chant dingue la nuit dans les ruelles — les cordes qu’on frotte c’est leurs corps qu’on bouscule et leurs langues ne s’arrêtent pas elles dansent floues.
mercredi 20 avril 2011, par
photographie : SebMénard, Maroc, Rabat, 2006, Ilford HP5, scan de négatif.