journal permanent | 26 septembre 2012

En écoutant Zenzile et le train (la pluie sur la vitre) je relis Sans de Joachim Sené (combien de fois) et j’y retrouve des notes prises dedans (carrés jaunes imitant un post-it collés sur le côté du texte) — j’y trouve — je crois — de nouvelles choses — des choses pas vues avant en fait — et ça me remue — il faut trouver le temps à nouveau (c’est dans les interstices) de mettre en forme (c’est peu — aligner en fait) les suites de notes prises en lecture — les bouquins dans l’iPod sont pleins là avec des notes dedans — ça formera peut-être une petite base à relire (y mettre des images c’est quelque chose aussi — devrais y réfléchir).

Deux expériences de l’achat dans la journée : en magasin coopératif (essentiellement des productions labellisées bio) et en supermarché conventionnel — est-ce que je peux tenir compte (réfléchir) à cela.

Écriture : la tête est toute entière pour la génération poussière et dans cette plaine (un récit) — impossible en ce moment de terminer (vraiment) Ramallah les étoiles — de sélectionner une série de fantômes — ou encore de se lancer dans un truc (ça reste un truc pour l’instant mais ça revient de temps à autre dans la langue) — aussi faire toute une sélection dans les carnets des plaines.