il faut trouver un moyen d’expliquer le décalage entre la piste de quitter les villes et la réalité
la réalité c’est bien cela : il y a eu cette errance
puis il y a eu le retour
le travail et les réfugiés
toujours là, du début à la fin
et notre incapable humanité
(voir Laurent Maindon « La mélancolie des Carpathes »)