journal permanent | 28 août 2015

vendredi 28 août 2015, par sebmenard

66km.

Poyralı — Binkilici.

Beau temps chaud – nombreuses côtes à suer – et le soir le froid tombe vraiment – beau et frais.


Nous n’avons pas de carte – est-il possible de voyager sans carte – la réponse est oui – mais nous avons besoin d’une carte – nous aimons avoir une carte.


Alors on avait voulu rouler vers l’Est : ça se précise – reprendre ce qui avait débuté l’été 2013 – aller beaucoup plus loin – c’était des pistes un début — repartir de ça – et puis garder cette rencontre du jour : James Plant pourrait être un nom (une autre idée : les glissades de la tente cet été de 2009 peut-être – un évènement qui revient et reprendre le désordre et la folie des lieux).


Notés des trucs sur le carnet papier rapidement – des morceaux que je veux garder pour quoi :

  • comme disait le poète — c’était un grand voyage — et ses mains filent bâtons noirs bâtons blancs
  • j’ai gardé le bâton bleu de nos paroles (quelque chose avec des bâtons — des paroles et des couleurs)

Je ne sais pas comment on explique ça : mais ce souffle là – c’est celui d’A fourteen tracks extended play – sans doute aussi besoin de terminer vraiment cette série – toujours envie de l’enregistrer – de la jouer.


De la rencontre avec James Plant : ne rien noter – ne rien prendre en notes – garder en tête comme un souvenir malléable et aléatoire ce récit.

1 Message

  • 28 août 2015, du grand Plant 2 septembre 2015 20:27, par C.P

    James Plant. Nous étions 4, il était seul, et pourtant il nous a tenu en haleine. Je crois qu’il était plutôt doué !

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